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Comment détourner une question déstabilisante en entretien ?

Comment détourner une question déstabilisante en entretien ?

Face à des questions inattendues en entretien, il est facile de se sentir pris au dépourvu. Pourtant, ces moments sont l'occasion de démontrer votre sang-froid, votre capacité d’adaptation et votre esprit de réflexion. Comment répondre sans perdre le fil ni compromettre votre message ? Dans cet article, découvrez des techniques pour détourner habilement les questions déstabilisantes, recadrer la conversation et mettre en avant vos atouts en toute confiance.

04/11/2024 Retour à tous les articles

Ce qu'il faut retenir

  • Les questions déstabilisantes en entretien visent à tester votre sang-froid, votre adaptabilité et votre capacité à communiquer avec clarté.

  • Recadrer la question permet de reprendre le contrôle de l’échange et de recentrer la discussion sur vos points forts.

  • Vous pouvez légitimement refuser de répondre à certaines questions en vous appuyant sur des raisons professionnelles, éthiques ou légales.

  • Anticiper les questions difficiles et s’entraîner à y répondre augmente votre aisance et votre crédibilité.

  • Face à une question illégale, restez courtois et redirigez la conversation vers les éléments pertinents pour le poste.

 

Faire face à des questions déconcertantes en entretien d’embauche  peut mettre à rude épreuve même les candidats les plus expérimentés. Derrière ces questions parfois déroutantes, les recruteurs cherchent à évaluer bien plus que vos compétences techniques : ils veulent tester votre capacité à garder votre sang-froid, à communiquer avec clarté et à préserver votre crédibilité dans les situations délicates. 

Certaines de ces questions peuvent concerner votre parcours, vos choix professionnels ou même franchir les limites de la légalité. Dans ce contexte, savoir les détourner avec stratégie est essentiel. Ce guide vous présente des techniques efficaces ainsi qu’une sélection des questions les plus fréquentes auxquelles il convient de vous préparer. 

3 techniques pour répondre avec tact à une question difficile 

Recadrer la question  

Recadrer une question consiste à reformuler son intention pour y répondre avec plus de sérénité. Cette méthode permet d’élargir le sujet, de recentrer la discussion sur vos points forts et d’éviter de vous retrouver dans une impasse. 

Imaginons qu'un recruteur vous demande : "Vous avez changé de poste plusieurs fois ces dernières années ; comment justifiez-vous ce manque de stabilité dans votre parcours ?" 

En recadrant, vous pourriez répondre : "Si je comprends bien, vous souhaitez savoir comment mes diverses expériences ont contribué à mon développement et à mon engagement professionnel." 

Votre réponse et votre paraphrase de la question pourraient être : "Vous me posez donc des questions sur notre feuille de route et sur la façon dont nous priorisons les fonctionnalités de nos produits." Cette paraphrase élargit la question, vous donnant la possibilité de définir une vision plus large et peut-être de mettre en évidence des fonctionnalités adjacentes, ou liées à la fonctionnalité que votre prospect recherche. Ce recadrage via la paraphrase vous offre un moyen de transformer la question en une situation plus gérable, et vous permet de recentrer votre communication. 

Lire aussi : Répondre à la question « Parlez-moi de votre principal échec professionnel » 

Reprocher sans se braquer 

Fournir une raison légitime de ne pas répondre directement à une question est un autre outil pour les situations de ce type. Citer des préoccupations juridiques, des directives réglementaires ou des pratiques antérieures peut être une raison valable pour ne pas répondre directement. Vous pouvez également invoquer une stratégie existante, qui interdit de commenter des questions telles que celle posée. Enfin, vous pouvez blâmer votre incapacité à répondre sur votre manque d'informations sur le sujet. Par exemple, si quelqu'un vous demande ce que vous pensez de la nouvelle direction d'un concurrent, vous pouvez dire que vous souhaitez effectuer une recherche plus approfondie au préalable, pour vous assurer que votre réponse est appropriée/correcte.  

Par exemple si un recruteur vous demande : "Que pensez-vous de la récente stratégie de recrutement d'une entreprise concurrente ?" 

Vous pourriez répondre : "Je préfère ne pas me prononcer sur les décisions stratégiques de nos concurrents sans avoir une compréhension complète et actualisée de leur contexte. Je pense qu'il est essentiel de disposer de toutes les informations pour avoir un point de vue objectif et éclairé."

Expliquer pour mieux maîtriser la réponse 

Dans certaines situations, il est parfois préférable de ne pas répondre à une question réellement déstabilisante, mais cela ne vous empêche pas d’expliquer les raisons de ce refus.  

Par exemple, si vous travaillez pour une entreprise privée et que vous êtes interrogé sur ses projets d'introduction en bourse, vous pouvez répondre en disant : « La question fait référence à une décision interne que nous pouvons décider de prendre ou non, mais notre choix sera toujours motivé par notre désir de servir nos clients, nos employés et nos investisseurs. » Expliquer les principes de votre réponse vous permet de remplir votre obligation de répondre à la question, sans révéler d'informations que vous ne souhaitez pas partager.  

S'entraîner pour détourner les questions en entretien 

En prenant le temps de réfléchir à des questions difficiles et de vous exercer à y répondre, vous vous sentirez plus à l'aise lorsque vous les affronterez. Commencez par effectuer un travail préalable avant les sessions de questions/réponses :

  • Pensez à des questions potentiellement difficiles auxquelles vous ne pouvez pas ou ne voulez pas répondre. 
  • Identifiez les voies de recadrage possibles. Exemple : les fonctionnalités concernent les priorités de la feuille de route, la tarification concerne la valeur, etc. 
  • Ayez une justification prête à expliquer pourquoi vous ne pouvez pas ou ne devriez pas répondre. Exemple : réglementations, respect des directives d'entreprise, etc. 
  • Gardez en stock des explications pour vos commentaires. Exemple : le plaisir des clients et des partenaires guidera toujours notre prise de décision ; la qualité est primordiale dans tout ce que nous faisons, etc. 

Ensuite, entraînez-vous à répondre à haute voix à des questions potentiellement difficiles. Vous voudrez peut-être même enregistrer vos réponses pour pouvoir vous réécouter par la suite. Enfin, validez vos idées en partageant vos réponses potentielles avec vos collègues pour assurer la cohérence et le soutien de votre approche.  

Une fois que vous vous êtes préparé à ce type de questions, vous pouvez conserver votre sang-froid et votre crédibilité tout en gardant le contrôle pendant vos sessions de questions/réponses.  

Lire aussi : Questions comportementales en entretien de recrutement 

Ainsi, pour gérer des questions déstabilisantes en entretien, des techniques comme le recadrage, l'explication ou le recours à des contraintes légitimes permettent de répondre sans se laisser déstabiliser. En choisissant la bonne approche, vous pouvez transformer une question délicate en une opportunité pour renforcer votre crédibilité et clarifier vos intentions. 

Exemples de questions déconcertantes et comment y répondre avec assurance 

Comment avez-vous entendu parler du poste ? 

Cette question sert à mesurer votre niveau de préparation et d’intérêt. Mentionnez une source précise et expliquez ce qui vous a motivé à postuler. 

Que savez-vous de notre entreprise ? 

Allez au-delà du discours institutionnel. Parlez d’un projet ou d’une valeur qui résonne avec votre parcours ou vos convictions. 

Pourquoi voulez-vous ce poste ? 

Soyez spécifique. Mettez en avant vos compétences clés, votre intérêt pour le secteur, et l’adéquation avec vos objectifs professionnels. 

Pourquoi devrions-nous vous engager ? 

C’est l’occasion de démontrer votre valeur ajoutée. Illustrez votre réponse avec des résultats concrets et un alignement clair avec la culture de l’entreprise. 

Pourquoi quittez-vous votre emploi actuel ? 

Restez constructif. Parlez de vos aspirations, de votre envie de relever de nouveaux défis, ou de l’évolution naturelle de votre parcours. 

Pourquoi avez-vous été licencié ? 

Expliquez brièvement les circonstances, sans vous étendre. Soulignez ce que cette expérience vous a appris et comment vous en avez tiré parti. 

Quel type d’environnement de travail préférez-vous ? 

Adaptez votre réponse à l’environnement de l’entreprise, tout en restant sincère. Donnez un exemple concret d’environnement où vous avez été performant. 

Comment expliquez-vous un trou dans votre CV ? 

Mettez en avant les activités utiles réalisées pendant cette période : formations, bénévolat, projets personnels. Montrez que vous êtes resté actif et engagé. 

Pourquoi avez-vous changé de carrière ? 

Mettez en lumière vos compétences transférables et expliquez en quoi votre parcours atypique est une richesse pour le poste. 

Que feriez-vous si vous gagniez 5 millions d’euros ? 

L’objectif est de tester votre motivation. Montrez que l’argent n’efface pas votre volonté de travailler, d’apprendre et de contribuer. 

Avez-vous déjà volé un stylo au travail ? 

Ce type de question vise à tester votre honnêteté. Une réponse honnête, teintée d’humour mesuré, est souvent la meilleure option. 

Quel est votre plus grand motif de fierté professionnelle ? 

Choisissez un succès significatif, en lien avec les compétences recherchées. Mettez en avant l’impact de votre contribution. 

Quelle entreprise admirez-vous le plus ? 

Même si vous mentionnez un autre acteur, recentrez votre réponse sur les raisons pour lesquelles vous êtes ici aujourd’hui. 

Comment définissez-vous le succès ? 

Offrez une définition personnelle mais alignée avec les priorités de l’entreprise : impact, collaboration, innovation, performance. 

Que pensez-vous que nous pourrions faire mieux ? 

Montrez que vous avez faiteffectué vos recherches et que vous pouvez apporter une contribution constructive. 

Avez-vous des questions pour nous ? 

Préparez toujours quelques questions pertinentes. Intéressez-vous aux défis du poste, à l’évolution de l’équipe ou aux valeurs de l’entreprise. 

Questions illégales en entretien : comment les reconnaître et y répondre 

Certaines questions déconcertantes en entretien peuvent en réalité être illégales. En France, les recruteurs n’ont pas le droit de vous interroger sur votre âge, votre genre, votre situation familiale, votre religion ou vos origines. Pourtant, ces questions sont parfois posées, souvent par maladresse. 

Dans ce cas, vous pouvez détourner la question en revenant au sujet professionnel. Par exemple, si l’on vous demande si vous avez des enfants, vous pouvez répondre : « Ce que je peux vous dire, c’est que je suis totalement engagé dans les responsabilités de ce poste et que mon organisation me permet de m’y consacrer pleinement ». 

Stratégie pour détourner des questions délicates en entretien 

La meilleure approche consiste souvent à déterminer pourquoi le recruteur pose cette question et s’il a une préoccupation légitime à laquelle il essaie de répondre. Adaptez ensuite votre réponse selon cet aspect-là, évitez la partie illégale de la question et ramenez la conversation sur vos points forts. Voici quelques exemples parmi les plus courants pour savoir comment faire face à ces questions impromptues. 

Détourner les questions sur le genre en entretien 

Les questions discriminatoires basées sur le genre sont vastes et profondes. J’ai vu des personnes interrogées se voir poser des questions telles que « Pensez-vous qu’une femme peut faire ce travail efficacement ? », ou encore « En tant que mère célibataire, quels arrangements avez-vous mis en place pour les enfants ? ».  

Sachez que toute question concernant le genre n’a rien à faire lors d’un entretien. Si toutefois le recruteur vous interroge là-dessus, la meilleure approche consiste à répondre sans faire référence au genre. Par exemple, si on vous demande : « Comment géreriez-vous la gestion d’une équipe composée uniquement d’hommes ? », faites abstraction de la dernière partie de la question et concentrez-vous plutôt sur vos compétences en leadership. Répondez par exemple : « Je suis très à l’aise dans un rôle de manager. En fait, dans mon dernier poste, le département que j’ai dirigé a dépassé ses objectifs de vente annuels pendant trois ans consécutifs. » 

Questions sur votre état matrimonial ou familial en entretien 

Dans le film Trait pour Trait (Picture Perfect), le personnage joué par Jennifer Aniston demande à une de ses connaissances de prétendre qu’ils sont fiancés. La raison étant que son chef ne souhaite pas lui accorder une promotion car elle est célibataire et n’a aucune attache ni obligation familiale. Une femme célibataire serait donc plus apte à partir vers de nouveaux horizons et à quitter l’entreprise. Une fois sa fausse bague de fiançailles au doigt, elle obtient la promotion tant attendue. 

Les risques que vous soyez confronté à quelque chose d’aussi direct sont minimes. Mais on peut vous demander quand vous envisagez de vous marier ou si vous allez continuer à travailler après avoir eu des enfants. Toutes les questions relatives à votre situation familiale sont techniquement illégales, mais les employeurs les posent parfois pour déterminer votre engagement envers le poste et l’entreprise, sur le long terme. 

Une réponse appropriée à ce type de question pourrait être : « Vous savez, je ne suis pas encore tout à fait à ce point-là de ma vie. Mais je suis très intéressé par les parcours de votre entreprise concernant ce sujet. Pouvez-vous m’en dire plus davantage ? ». Cela garantit au recruteur que vous êtes engagé dans votre développement professionnel, mais ne leur promet rien en ce qui concerne votre avenir, et vous permet de ramener la conversation sur un sujet lié à l’emploi, par la même occasion. 

Questions sur votre citoyenneté, nationalité ou votre langue 

Les employeurs peuvent avoir de grandes difficultés à embaucher des personnes qui ne sont pas légalement autorisées à travailler dans le pays, ce qui a amené les entreprises à prendre des mesures plus strictes pour se renseigner sur les candidats avant même de les rencontrer en entretien. Mais la seule façon pour eux de le faire légalement consiste à poser directement la question suivante : « Êtes-vous légalement autorisé à travailler dans ce pays ? ». Tout autre moyen de formuler cette question, tel que « De quelle origine êtes-vous ? » ou « Où êtes-vous né ? » est illégal. 

Cela dit, ces types de questions sont souvent abordées en début de conversation, vous pouvez donc adopter différentes approches pour y répondre. Si vous pensez que c’est une erreur amicale, souriez et dites : « Je viens d’un petit village en Bretagne. Et vous ? ». Mais si cela vous met mal à l’aise, vous pouvez esquiver la question de façon habille en répondant : « En fait, j’ai vécu dans beaucoup d’endroits. Mais je suis légalement autorisé à travailler ici, si c’est ce que vous demandez. » 

Questions sur l'âge en entretien : comment s'y préparer

Nous avons tous entendu parler de discrimination basée sur l’âge : des candidats plus jeunes sont laissés pour compte pour des candidats plus expérimentés et des travailleurs âgés sont mis de côté en faveur de jeunes employés qui pourraient coûter moins cher en termes de salaire. Il est possible qu’un employeur potentiel s’aventure sur un territoire discriminatoire pour les personnes plus jeunes, sans qu’il soit gêné par des questions de légalité. Par exemple, « Nous avons généralement engagé des personnes plus âgées et plus expérimentées pour ce type de poste ». Cela peut vous paraître injuste, certes. 

Cette situation devrait à juste titre vous concerner, mais soyez prêt à répondre à l’objectif du recruteur : avez-vous l’expérience requise pour le poste ? Une bonne réponse serait de revenir à vos compétences liées au poste en question : en soulignant des réalisations spécifiques et en quoi votre expérience pourrait être bénéfique pour l’entreprise. 

Détourner les questions sur votre religion en entretien 

Un employeur peut être curieux de connaître vos pratiques religieuses afin de planifier vos jours travaillés en week-end ou en période de vacances. Ainsi, il est possible qu’il vous pose des questions telles que « Quelles fêtes religieuses observez-vous ? » ou « Allez-vous à l’Eglise le dimanche matin ? » (Pour répondre à la question « Pouvez-vous travailler le dimanche matin ? ») pour établir votre planning. 

Les employeurs ne devraient jamais lier leurs préoccupations horaires à des questions religieuses. Si l’entretien est centré sur votre vie personnelle, essayez de répondre en posant la question suivante : « Quels sont les horaires du poste ? ». Vous pouvez également l’assurer de votre disponibilité en disant : « Je suis tout à fait capable de travailler aux horaires dont vous avez besoin pour ce poste. » 

Comment réagir face aux questions illégales en entretien 

N’oubliez pas que de nombreuses fois, des questions illégales ne sont pas posées avec de mauvaises intentions. Un recruteur inexpérimenté peut dire quelque chose comme : « C’est un bel accent. D’où venez-vous ? » pour faire la conversation. Il pourrait ne pas se rendre compte que la question est illégale ou ne pas savoir comment la formuler de manière légale. 

Mais si vous estimez qu’une question est inappropriée, vous pouvez également demander au recruteur de préciser en quoi elle est liée au travail. Vous avez également le droit de lui dire que vous ne souhaitez pas répondre à une question si elle vous met mal à l’aise. Et si une question est vraiment choquante et discriminatoire, vous avez également la possibilité de déposer une plainte ou une main courante. 

Face à une question illégale, vous devez tenir compte de divers facteurs pour décider comment répondre : l’intention de la question, à quel point vous voulez occuper le poste et en quoi votre réponse pourrait nuire à vos chances de l’obtenir. En fin de compte, vous devrez choisir la meilleure ligne de conduite, mais il est bon que vous sachiez où se situe la loi. 

Conclusion 

Les questions déconcertantes en entretien ne sont pas là pour vous piéger, mais pour évaluer votre capacité à gérer la complexité et à communiquer avec nuance. En vous appuyant sur des techniques comme le recadrage, l’explication ou le recours à des contraintes légitimes, vous pouvez transformer ces instants de fragilité en opportunités de valoriser votre professionnalisme. 

Une bonne préparation, une posture authentique et un discours aligné avec vos valeurs sont vos meilleurs alliés pour aborder ces situations avec confiance. 

Vos questions fréquentes

Pourquoi les recruteurs posent-ils des questions déstabilisantes pendant un entretien ?

Les recruteurs utilisent les questions déstabilisantes pour tester la spontanéité, la sincérité, la résilience émotionnelle et la capacité d’adaptation des candidats. Ces questions permettent aussi d’observer comment le candidat structure sa pensée face à l’imprévu. 

Comment reconnaître une question illégale en entretien ?

Une question est considérée comme illégale si elle porte sur des critères protégés par la loi, tels que l’âge, le sexe, l’orientation sexuelle, l’origine ethnique, la situation familiale, les opinions politiques ou les croyances religieuses. Ces informations ne doivent jamais être un critère de sélection. 

Que faire si une question d’entretien me met mal à l’aise ?

Il est recommandé de répondre avec diplomatie. Vous pouvez reformuler la question pour recentrer la conversation sur un sujet professionnel, ou bien expliquer calmement que vous préférez ne pas répondre à une question trop personnelle. Le tout sans perdre votre calme ni vous fermer à l’échange. 

Quels sont les exemples de questions pièges les plus courantes en entretien ?

Parmi les plus fréquentes, on retrouve : 

  • « Pourquoi avez-vous quitté votre dernier poste ? » 

  • « Avez-vous des enfants ? » 

  • « Que feriez-vous si vous gagniez au loto ? » 

  • « Quelle est votre plus grande faiblesse ? » 

  • « Pourquoi avez-vous été licencié ? » 

Chacune de ces questions peut être anticipée avec des réponses bien formulées et alignées sur vos objectifs professionnels. 

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